vendredi 22 août 2025

PARENTHESE

Avec un total de 83 titres, cette suite de 'Modern Girl : The Complete EMI Recordings Vol I' comprend des collaborations avec des artistes comme Prince et Nile Rodgers sur des succès américains tels que 'Strut', 'Sugar Walls' et 'Do It For Love'.

Date de sortie : 31 octobre.



 

 

ROCK'N'ROLL 

Jack White répond à la Maison-Blanche et accuse Trump de “se faire passer pour un être humain” !

Parfois, une toute petite étincelle suffit à mettre le feu aux poudres. C’est exactement ce qui s’est passé entre Jack White, un musicien très connu, et l’équipe de l’ancien président américain Donald Trump. Tout a commencé par une simple remarque sur la décoration du Bureau Ovale, le célèbre bureau du président. Personne ne s’attendait à ce que ça se transforme en une véritable bataille de mots, où les insultes ont fusé de part et d’autre. Une histoire un peu folle qui montre à quel point les esprits peuvent s’échauffer rapidement.
Tout a commencé quand Jack White, le chanteur du fameux groupe The White Stripes (vous connaissez sûrement leur chanson “Seven Nation Army”), a vu une photo. Sur cette photo, Donald Trump était avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans le Bureau Ovale. Mais ce qui a choqué le musicien, ce n’est pas la politique, c’est le décor ! 
Il a trouvé la pièce “répugnante”,“vulgaire” et clinquante, avec tout cet or partout. Il a même dit que ça ressemblait à la loge d’un catcheur professionnel. Pour lui, ce mauvais goût montrait qu’on ne pouvait pas faire confiance à un homme comme Trump.
Évidemment, l’équipe de Trump n’a pas du tout apprécié la critique. Le directeur de la communication de la Maison Blanche, un certain Steven Cheung, a répondu de manière très directe et assez méchante. Il a traité Jack White de “perdant dépassé” et a dit que sa carrière était au point mort. Pire encore, il a accusé le musicien de “se faire passer pour un véritable artiste”. En gros, il lui a dit de se mêler de ses affaires et de respecter la “Maison du Peuple”, comme on surnomme la Maison Blanche.
Face à une telle attaque, on aurait pu penser que Jack White allait se fâcher. Mais pas du tout ! Il a pris les choses avec beaucoup d’ironie. Quand on l’a accusé de se faire passer pour un artiste, il a répondu : “Merci de m’avoir donné l’inscription pour ma pierre tombale !”. C’est sa façon de dire que l’insulte est tellement ridicule qu’elle en devient presque un compliment. Une manière bien à lui de montrer qu’il n’était pas intimidé.
Après cette petite pointe d’humour, le musicien est devenu beaucoup plus sérieux. Il a arrêté de parler de décoration pour s’attaquer directement à Donald Trump. Il l’a qualifié d’“escroc orange” et a affirmé qu’il représentait un “danger pour le monde entier”. Il l’a aussi accusé d’utiliser l’argent des contribuables pour tricher au golf au lieu d’aider les gens dans le besoin. Là, on n’est plus du tout dans la critique de bon goût, mais dans des accusations politiques très graves.
Ce qui a le plus surpris Jack White, c’est la raison de la colère de la Maison Blanche. Il a expliqué qu’il avait déjà critiqué Trump pour des choses bien plus graves : ses propos racistes, sa politique d’immigration très dure, son manque d’intérêt pour les enfants qui meurent de faim dans le monde… Mais pour tout ça, il n’avait jamais eu de réponse. C’est seulement quand il a critiqué la maudite décoration du bureau que l’équipe de Trump a réagi ! Il a trouvé ça “mesquin, pathétique et incroyablement susceptible”.
Jack White a ensuite adressé un message aux électeurs de Trump. En résumé, il leur a dit : “Profitez bien de vos jardins bétonnés et de vos babioles dorées achetées au magasin de bricolage, parce que Trump ne dépensera jamais d’argent pour vous aider.” Selon lui, Trump ne s’intéresse qu’à son petit cercle d’amis riches et puissants, et se moque complètement des problèmes des gens ordinaires qui votent pour lui.
Pour finir, Jack White a retourné l’accusation contre ses accusateurs. L’équipe de Trump l’avait traité de “faux artiste” ? Eh bien, lui, il pense que c’est Trump qui porte un masque. Selon le chanteur, l’ancien président “se fait passer pour un être humain”, pour un chrétien et pour un dirigeant qui se soucie des autres, alors qu’en réalité, il n’aurait aucune empathie. C’était sa façon de dire que le vrai imposteur, ce n’était pas lui.
Cette histoire, qui a commencé par une histoire de rideaux et de bibelots dorés, nous montre quelque chose de plus profond. Elle révèle à quel point la société est divisée et à quel point les nerfs sont à vif. Une simple critique esthétique s’est transformée en un débat sur la politique, la morale et même la nature humaine. Au final, cette querelle entre un musicien et des politiciens est un peu le reflet des tensions qui traversent notre époque. C’est la preuve que, parfois, parler décoration, c’est aussi parler de tout le reste.

Selon la source : independent.co.uk


Tout est dit .. et ce sont des hommes de la sorte qui nous gouvernent !! Qu'avons nous fait .. ou pas .. pour laisser ces personnes accéder au pouvoir  ! Notre avenir est vraiment incertain et compromit ... et cela a forcement et malheureusement une influence sur nos quotidiens .. 


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