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jeudi 21 mars 2019

PARENTHESE

"She was a good friend, a lovely person and very funny. She had the most incredible voice and her death was a big shock to me. I miss her." -- ONJ



Dans les années 1970, avec son frère aîné Richard, Karen Carpenter fut la jeune icône d'une contre-révolution musicale américaine adoubée par Nixon et adulée par la télévision pour ses chansons sans sexe, ni drogues, ni rock'n'roll.
Mais Karen Carpenter, morte en 1983, peu avant ses 33 ans, des suites de l'anorexie mentale qui la minait depuis des années, fut bien plus qu'une jolie fille trop sage dévorée vive par le star-system. Musicienne hors pair, notamment à la batterie, sacrée meilleure chanteuse du XXe siècle par Paul McCartney, la voix des Carpenters sut insuffler une émotion intense à la moindre bluette concoctée par son frère, lui-même génial arrangeur.
C'est peut-être en partie en raison de sa tragédie intime, qui ne fut révélée qu'après sa mort, qu'elle a fasciné le cinéaste Todd Haynes (Superstar : The Karen Carpenter Story, 1988) et le journaliste Clovis Goux (La disparition de Karen Carpenter, Actes Sud, 2017).




We have Karen to thank for all the lives that have been saved after women and men found treatment and acceptance from their families and society.
One thing remains : I still miss my friend.

Extrait de Don't Stop Believin' A MEMOIR !


ONJ au mariage de KC !

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